Des tops, des tops, des tops ! 2018
Un cinéaste japonais tout nouveau tout beau, les charmes discrets de l’académisme, de la facilité à se farcir les grands classiques, et autres petites choses qui ont fait mon année 2018…
Et un blog ciné de plus, un !
Un cinéaste japonais tout nouveau tout beau, les charmes discrets de l’académisme, de la facilité à se farcir les grands classiques, et autres petites choses qui ont fait mon année 2018…
Au tournant des années 20 se développe, en Allemagne puis très vite à Hollywood, un cinéma comique au féminin. Autour de comédiennes récurrentes, et sous la caméra de cinéastes parfois prestigieux (Lubitsch, Dwan, Vidor), un genre à part entière va se constituer.
Avatar, série animée pour enfants, est l’une des plus belles choses que la télévision nous ait offert ces dernières années. C’est aussi, plus discrètement, un condensé de frustrations politiques…
Une même affaire criminelle, vécue du point de vue des flics, puis de la justice… Le principe simplissime de Law and order, sous ses atours sobres et démodés, cache une série exceptionnelle.
Étalons-nous sans honte dans le plaisir des listes, en profitant de ce qui reste à peu près à ce jour l’unique intérêt des mois de janvier.
Depuis quinze ans, le cinéma d’animation japonais est le théâtre d’une explosion de jeunes talents, dont nous n’avons pas vu les films. Et pour cause : leur histoire s’écrit dans l’ombre des musées, du web, des festivals, et des universités… Retour sur la mouvance des indépendants, ce miroir tendu aux glorieux standards de l’animation nationale.